des mendiants arabes de la Casbah
et de la petite Yasmina tuée par son père
A l’origine, un fait divers : le drame quotidien devenu banal d’une fillette assassinée par son père.
Il fallait être Aït Djafer pour en faire un poème. Et quel poème ! Un long cri de douleur, d’une telle violence qu’on y retrouve après coup l’imminence de l’orage, l’annonce de novembre.
Cette complainte, à elle seule, suffit à faire d’Aït Djafer un poète.